Samuel Barreau Oxalis 101
Coopérative d'entrepreneurs,
Au delà du portage salarial, permet de mettre en commun des ressources.
Plusieurs entreprises et collectifs constitués ont rejoint
Adrien lemardeley Attom 102
Attom ; présentation de la démarche qui a aboutit à la création d'attom, et notamment en passant par une fédération d'artisans qui pour la plupart lançaient leur activité plutôt dans des garages.
D'autres personnes ont rejoint le projet, notamment pour le développement économique.
Parmi les problématiques abordées, la question de la pérennisation, de la valorisation, du développement, de la création de richesse par la collaboration entre les acteurs impliqués.
Quels artisans? Sur l'expérimentation, des tapissiers, ébéniste, horloger...
Quels résultats grace au croisement des métiers? Pas toujours évident car artisans très différents, mais complémentarité possible. Il n'a pas été facile d'aller réellement jusqu'à la collaboration.
Une partie est mutualisée, avec par exemple outillages numériques, et certains outils spécifiques.
Comment sont recrutés les artisans? Ils sont plutôt des clients, des partenaires, nous sommes passés par Leboncoin.fr.
Économiquement viable?
Pour le moment non, mais en développant la taille un équilibre devrait pouvoir être atteint, avec plus de métiers différents, plus de partenaires.
L'idée est que chaque atelier se développe petit à petit en SCOP, avec Attom en holding.
La mutualisation et l'accompagnement permet de développer l'activité pour que chaque artisan atteigne un équilibre économique, en aidant l'artisan à voir quelle est sa valeur ajoutée, pour par exemple passer certaines tâches en production automatisée numérique.
Pour le moment, 110 m2, c'est une phase expérimentale.
Claire Brossaud Coexiscience 103
Coexiscience (COopérer et EXpérImenter autrement la SCIENCE) rassemble des acteurs qui contribuent à la réalisation et à la valorisation des communs scientifiques. Les origines des communs remontent à très loin mais rejaillissent maintenant grâce au numérique. Les communs désignent l’activité de collectifs visant à partager, gérer et faire perdurer des ressources immatérielles (logiciel libre, encyclopédie wikipédia, code génétique, etc.) ou matérielles (monnaie, jardin, eau, four à pain, etc.).
Problématiques abordées : comment faire de la médiation? comment faire circuler les savoirs?
Diane Dupré La Tour Les petites cantines 201
Les petites cantines sont un projet dont le but premier est de lutter contre l'exclusion en milieu urbain à travers l'organisation de repas participatif : du choix de la recette, à la vaisselle en passant par la préparation du repas. On peut aussi venir partager le temps d'un repas.
Après une période d'expérimentation à la Duchère, les petites cantines se sont installées à Vaise en septembre 2016. Elles comptes aujourd'hui près de 3.300 adhérents, et 600 cuisiniers bénévoles. L'équilibre budgétaire semble atteint à Vaise et c'est maintenant une phase d'essaimage qui s'amorce d'abord à Lyon puis au-delà.
Pour ce faire, les deux co-fondateurs restent impliquer dans le développement d'une fédération qui formera et accompagnera les associations souhaitant s'inspirer des petites cantines.
Arthur Bard France Barter 213
Une scic différents colleges : investisseurs, utilisateurs...
Echange sans trésorerie : du donnant donnant : échange multilatérale de service ou objet avec un compte barter qui est une plate-forme e ligne.
C'est un réseau d'échange de compte en compensation
Les besoins des membres du réseaux sont identifiés.
chaque membre à un compte de barter qu'il peut utilisé pour avoir qqc au niveau local et doit faire un don à un autre membre pour rééquilibrer son compte
Pas de taux d'intérêt dans les échanges
Complémentaires avec les banques, partenaire avec la caisse d'épargne pour proposer des prêts barter
Ce ne sont pas que des échanges numériques il y a aussi des rencontres en presentielle de tous les
Volontés pour la suite : être plus en lien avec les banques pour créer l'intérêts des citoyens + développer les réseaux locaux
Pour l'instant existant à paris, Lyon, Rennes, guadeloupe
Déborah Hirigoyen La commune 301
br>Projet qui va ouvrir en février 2018.
En questionnement (droits du travail, différentes problématiques...)
Architecte (Déborah Hirigoyen) associer un peu d'humanité à un peu de matière. Questionnement sur l'évolution des mode de vie, des entreprise, des installation. Comment il peuvent être investi et non subit par les usagers. Insuffler des valeurs communes pour animer des lieux avec des idées communes. On co-construit un programme avec les habitants.
Le socle commun peut être la culture: au sens de la commune, à Lyon, encré dans un territoire, elle peut être la "cuisines", comment on rend un bâtiment accessible a tous, en exploitation cohabiter avec un environnement économique pérene.
il a fallu regrouper des énergies, en transversal. Regroupement d'architectes, de personnes sur l'urbanisme, pouvoir loco, communal, chambre des métiers, et juridique pour recherche d'investisseurs.
Ce projet est né, un lieu a été trouvé. sur lyon 7eme, au cœur d'un quartier en devenir.
L'idée était d'intégrer des porteurs de projets pour avoir un lieu collectif, pour prototyper pendant 12 mois son projet son offre. Pour plus tard confirmer sa création d'entreprise ou pas. L'échec n'est pas un échec en soit mais c'est l'opportunité dans un environnement bienveillant et cadre financier permettant de tester en sécurité au sein de la commune.
Il y a donc une offre accueil du publique, capacité de 650 personnes jours, et une émulation autour de la proposition par le côté culturel par la cuisine. Autour de cette cuisine, on anime des communautés, des tribus opportunes, improbable pour générer du partage et conforter ces idées.
Plan sur la Commune:
Cuisine collaborative
- Jardin
- bistrot
- Café
- lieu-dit
De nombreux partenaires sont présent pour aider et accompagner les futurs entrepreneurs. (comptabilité...)
Problématique: coproduire l'offre culinaire et l'offre culturel tout en maintenant l'accessibilité. Problématique sur les contrat de partenariat, cadre juridique des entrpreneurs. Les chefs qui viennent travailler à la commune, sont la our collaborer donc les contrat de partenariat doivent se définir. Fonctionnement du lieu, élaboration sur les façons de collaboration.
tester une activité, à la période d'incubation: Reflexion sur leur business mode...
Le terme incubateur n'eset pas approprié, c'est une plateforme de tremplin. Le but est poste constitution, à la porte de se lancer. Le materiel et les loco sont apporté par la Commune. Ce sont des service mutulalisé avec un accompagnement pédagogique.
On accelère autant une réussite qu'un échec. Ce n'est pas un incubateur mais un tremplin.
Facilité l'investissement, en évitant les gros frais d'installation initial lorqu'on veut monter un restaurant ou autres.
Faiblesse dans le dispositif: investir initialement dans un tremplin.
4000€ d'investissement si on entre dans la Commune (redevance).
Il ont la possibilité de tester leur restauration sur un public journalier.
Via Terroirs - Baudouin - Salle 318
[email protected]Plateforme qui permet de démocratiser le circuit-court.
Le numérique et le collaboratif est une opportunité pour développer les circuits-courts, en accélérant la mise en lien avec des professionnels de la restauration.
Cela permet aux producteurs de s'organiser et de gagner du temps.
C'est le lien entre 600 professionnels et 80 producteurs.
La plateforme est active à Lyon, Saint Étienne, Paris, bientôt Grenoble et Valence
Philippe Rahbé La ruche qui dit oui 303
On peut être sous différents statuts et participer à la Ruche
Filiation avec l'atelier des médias, le premier coworking de Lyon
pour une ruche, c'est en partie en ligne, mais il faut un espace physique, partenariat actuel
Pas d'autorisation de vente. Le site, la marque a des CGS. La responsabilité de la qualité des produit revient au producteurs.
Il y a une convention entre les prestataires et la ruche? Valeurs communes sont sur une charte mais pas contractualisation. Cela a pu créer des problèmes au sein du réseau.
Par rapport au producteur, 20% de leur chiffre d'affaire doit etre donné a la ruche. Mais il n'y a pas de contrat établi. En cas de litige, le fonctionnement financier se font au seins de la plateforme. L'argent est ensuite diffusé a la ruche 20%, 80% au producteur... Qui gère ça? qui contrôle la légalité?
Revenu 10% pour la plateforme, 10% pour l'entrepreneur local, 80% pour le producteur
Donnes son avis sur le site de la ruche . On envoie un sondage pour le premier achat. Mais pas de réelle avis en place sur la plateforme, en cour de réflexion.